Rêveries huit: rendez-vous « Folie des grandeurs »
Ce jour de mal de dos, je me couche tôt. Rien à faire, le matelas n’adoucit pas ma douleur. Ma carcasse souffre le martyr, mes genoux s’agitent, boursouflent, et redoublent… C’est comme si quelqu’un ou quelque chose me cognait sur les os. Je suis la cymbale d’un maniaque nocturne. Alors, comme à chaque fois, que je suis pris au piège par un intrus, ou les guet-apens des Natures, humaines et inhumaines, j’enfile mes boots bondissantes, mon manteau des sept vents, mon chapeau aux surprises et file prendre part à l’action. Botté, « manteaulé », et chapeauté, me voici prêt à en découdre avec… Pas le temps d’aller plus loin ni d’ouvrir la porte de mon antre secret…
Je débarque non pas au cœur du Kansas de Dorothée, mais sur le contour du célèbre cercle de Sad Hill, alias, le triste mont, ou la montagne qui chiale, pour les français anglophobes, là même où Clint, Lee, et Eli se sont adressés d’aimables bastos sous la houlette saperlipopette, ô combien tyrannique du génie, Sergio avec Ennio, le maestro, aux platines…
partie de ce dossier tonitruant ! Mon dernier hommage au meilleur du comic books, à croquer, passionnément, ici (avec son gros maillet !) 
seconde partie de ce dossier titanesque ! Mon hommage au meilleur du comic books, à dévorer, sans tarder, ici (Le barbu nerveux, au gros maillet, à droite, c’est toujours lui…) 
que renversante du mythique, 1984, de George Orwell, roman publié en 1949, époque ô combien paranoïaque alimentée par le delirium tremens des Américains du Nord et des « longs couteaux » du bloc de l’Est, farouchement fâchés, déjà en ces temps-là.
j’écris ces lignes, d’énergie créatrice ! Pour faire simple – je peux faire ça aussi – Ron Frenz est un cartoonist, un dessinateur, un auteur de comic books, bref, un superbe artiste que je vous invite à découvrir – si ce n’est pas déjà fait – en mon illustre compagnie dans la première partie de ce gargantuesque dossier ! (Le biker musclé, au gros maillet, à droite, c’est bien lui…) 
say cave paintings of mammoths and other beasts might have been done to contain fears by outlining them. When David Aja wrote to ask me what I was working on, it was right at the moment my beekeeping friends were noticing that the bees were leaving. Also, as a sometimes-journalist, I was worried about how free « content » was making it difficult to get paid to write, and the content on line was often badly fact-checked.
scénariste à la plume journalistique, et David Aja, l’illustrateur au crayon grave, conte en quatre sublimes actes l’histoire d’une humanité en fuite de sa condition avariée sur une terre gangrenée par son désir de consommer à tout prix.
millions d’exemplaires écoulés deux jours après sa sortie, n’est pas un roman consacré à la pêche, n’est pas un roman dédié à la vieillesse comme on a pu le lire parfois, non, il est bien plus que cela. Il est un récit initiatique au rythme frénétique qui oppose l’Homme aux forces de la nature, sa petitesse à la majesté des éléments, son ambition démesurée aux forces qui le dépassent.
Chroniques des Fontaines 
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